Graines Voltz (GRVO) - ex Pépites PEA
- les daubasses
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Date d'achat : 30 juin 2017
Cours d'achat : 27,95 EUR
Points forts de ce titre :
Entreprise familiale leader français sur des marchés de niche : fleurs coupées, jeunes plants et semences
Marge opérationnelle > 10%
Dividende de 6 EUR sur de dernier exercice => rendement actuel > 10% avec un cours de 54,50 EUR (au 13.11.2019)
Opération en capital à venir ?
---
Prochaine publication :
Lundi 2 décembre 2019 (après bourse) - CA annuel
Téléchargez notre présentation de mai 2017 :
Cours d'achat : 27,95 EUR
Points forts de ce titre :
Entreprise familiale leader français sur des marchés de niche : fleurs coupées, jeunes plants et semences
Marge opérationnelle > 10%
Dividende de 6 EUR sur de dernier exercice => rendement actuel > 10% avec un cours de 54,50 EUR (au 13.11.2019)
Opération en capital à venir ?
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Prochaine publication :
Lundi 2 décembre 2019 (après bourse) - CA annuel
-- Chasseurs de décotes depuis 2008 --
Chiffre d’affaires annuel 2018/2019
+6,9% à 82,2 M€, guidance respectée smile
Communiqué bien plus détaillé que d’habitude avec les croissances par gamme.
+6,9% à 82,2 M€, guidance respectée smile
Communiqué bien plus détaillé que d’habitude avec les croissances par gamme.
IB https://ibkr.com/referral/etienne815
Saxo https://urlz.fr/l9Hh
Bourso ETPL4810
Fortuneo 12470190
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Je vous invite à également relire le communiqué de l'année dernière : https://www.graines-voltz.com/upload/fi ... e_2t09.pdf
On constate que le changement de la communication n'est pas un biais d'ancrage d'investisseur exposé à la valeur. Je serai curieux de savoir ce qui motive un tel revirement de la communication. De fait on peut maintenant douter d'un rachat des minoritaires. Bravo en tout cas aux Daubasses pour avoir su dénicher la valeur et plus encore pour avoir monter l'opération d'activisme. Graine Voltz devient un cas d'école. Le changement de pied de Serge Voltz est peut-être finalement contraint par la visibilité créé par l'opération d'activisme. A moins qu'il n'ait asséché sa source de rachat à petit prix qui a alimenté la chronique de ces dernières années.
Peu importe, l'histoire est belle et profitable pour les actionnaires
On constate que le changement de la communication n'est pas un biais d'ancrage d'investisseur exposé à la valeur. Je serai curieux de savoir ce qui motive un tel revirement de la communication. De fait on peut maintenant douter d'un rachat des minoritaires. Bravo en tout cas aux Daubasses pour avoir su dénicher la valeur et plus encore pour avoir monter l'opération d'activisme. Graine Voltz devient un cas d'école. Le changement de pied de Serge Voltz est peut-être finalement contraint par la visibilité créé par l'opération d'activisme. A moins qu'il n'ait asséché sa source de rachat à petit prix qui a alimenté la chronique de ces dernières années.
Peu importe, l'histoire est belle et profitable pour les actionnaires
- les daubasses
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Ha oui, la comparaison en terme de contenu est plutôt parlante !
C'est le jour et la nuit.
Très belle publication, sur le fonds comme sur la forme.
Comme échangé par téléphone il y a quelques mois avec Serge Voltz, l'attaque du marché allemand sans capital avec juste des commerciaux porte ses fruits (sans jeu de mots...).
Pour faire simple : on envoie des commerciaux sur le terrain, et c'est tout = aucun CAPEX, juste des coûts de personnel. Modèle gagnant dans le sens où la prise de risque est minimale pour installer les produits et prendre des parts de marché. Les marges devraient augmenter avec ce modèle.
Et de nouveau on parle de la logistique, qui est une pièce maîtresse de la société. Pour rappel, (il faut re-lire les news "daubasses" pour ça ou la présentation ci-dessus), le site logistique en Anjou est récent et hyper moderne. Cerise sur le gâteau, les murs de ce centre (contrairement au siège social acquis par une société patrimoniale de la famille Voltz) appartiennent à Graines Voltz, donc un peu à nous, les actionnaires.
Si Graines Voltz avait la bonne idée d'être le genre d'action qui passe du statut de décote d'actifs à celui de société de croissance à la Gévelot (un bagger x10 pour les daubasses !), on signe de suite !
Serge Voltz n'a pas l'habitude de communiquer - surtout si positivement ! - pour ne rien dire. Et comme il est archi majoritaire au capital, il n'a aucune raison de flatter le marché. On peut donc espérer le meilleur pour les résultats annuels et les prochains exercices si l'épreuve test allemand est concluant.
Direction : la conquête de l'Europe depuis la France ?
C'est le jour et la nuit.
Très belle publication, sur le fonds comme sur la forme.
Comme échangé par téléphone il y a quelques mois avec Serge Voltz, l'attaque du marché allemand sans capital avec juste des commerciaux porte ses fruits (sans jeu de mots...).
Pour faire simple : on envoie des commerciaux sur le terrain, et c'est tout = aucun CAPEX, juste des coûts de personnel. Modèle gagnant dans le sens où la prise de risque est minimale pour installer les produits et prendre des parts de marché. Les marges devraient augmenter avec ce modèle.
Et de nouveau on parle de la logistique, qui est une pièce maîtresse de la société. Pour rappel, (il faut re-lire les news "daubasses" pour ça ou la présentation ci-dessus), le site logistique en Anjou est récent et hyper moderne. Cerise sur le gâteau, les murs de ce centre (contrairement au siège social acquis par une société patrimoniale de la famille Voltz) appartiennent à Graines Voltz, donc un peu à nous, les actionnaires.
Merci Okavongo pour les bons mots. C'était une sacrée aventure, mais ça a très, très bien payé !L’Allemagne est le premier marché européen développé par le groupe sur un modèle à valeur ajoutée similaire à celui de la France depuis le repositionnement sur l’Europe opéré en 2015. C’est un marché de plus en plus tiré par la consommation de légumes de qualité. Au cours de l’exercice, le chiffre d’affaires des variétés home garden y a progressé de 28%. C’est un marché très intéressant car son développement requiert une faible intensité capitalistique dans la mesure où il est servi parles infrastructures françaises.
Si Graines Voltz avait la bonne idée d'être le genre d'action qui passe du statut de décote d'actifs à celui de société de croissance à la Gévelot (un bagger x10 pour les daubasses !), on signe de suite !
Serge Voltz n'a pas l'habitude de communiquer - surtout si positivement ! - pour ne rien dire. Et comme il est archi majoritaire au capital, il n'a aucune raison de flatter le marché. On peut donc espérer le meilleur pour les résultats annuels et les prochains exercices si l'épreuve test allemand est concluant.
Direction : la conquête de l'Europe depuis la France ?
-- Chasseurs de décotes depuis 2008 --
C'est sûr que la communication a beaucoup changé ces derniers mois... mais pas seulement. Un autre changement interpelle forcément : les méthodes comptables.
Dans les semestriels, on remarque qu'une raison de la franche amélioration du résultat est la modification des modes de provisionnement pour les clients et pour les stocks. Pour ceux que la lecture des annexes n'effraye pas, je me réfère à la note 2.7 des semestriels. On est passé de provisions très conservatrices (qui avaient d'ailleurs été fustigées l'époque par les Daubasses - merci à l'équipe) à des provisions qui le sont franchement moins. Par exemple, les créances clients ne sont désormais dépréciées que si la société débitrice est en liquidation ou en RJ. Cela peut sembler un peu court comme provision. Pour les stocks, j'ai plus de mal à me faire une idée, car je suis un peu léger sur la germination des graines... mais ce qui est certain c'est que là aussi on provisionne moins qu'avant.
Je lis aussi dans le rapport que le calcul des indemnités de départ en retraite est calculé sur un départ moyen à l'âge de 67 ans. C'est assez loin de la loi française actuelle ! Est-ce la proximité de l'Allemagne ou Serge Voltz est-il visionnaire sur la réforme à venir (ou pas) ?
Bref, au final, lorsque la société dotait 1,9 millions d'euros aux provisions sur le S1 2018, elle reprend 4,6 millions d'euros sur le S1 2019. Un différentiel de 6,5 millions !
Une société qui communique mieux qu'avant et une société qui essaie de sortir plus de résultat comptable qu'avant est une société dans laquelle il se passe quelque chose.
J'attends la suite avec confiance.
Dans les semestriels, on remarque qu'une raison de la franche amélioration du résultat est la modification des modes de provisionnement pour les clients et pour les stocks. Pour ceux que la lecture des annexes n'effraye pas, je me réfère à la note 2.7 des semestriels. On est passé de provisions très conservatrices (qui avaient d'ailleurs été fustigées l'époque par les Daubasses - merci à l'équipe) à des provisions qui le sont franchement moins. Par exemple, les créances clients ne sont désormais dépréciées que si la société débitrice est en liquidation ou en RJ. Cela peut sembler un peu court comme provision. Pour les stocks, j'ai plus de mal à me faire une idée, car je suis un peu léger sur la germination des graines... mais ce qui est certain c'est que là aussi on provisionne moins qu'avant.
Je lis aussi dans le rapport que le calcul des indemnités de départ en retraite est calculé sur un départ moyen à l'âge de 67 ans. C'est assez loin de la loi française actuelle ! Est-ce la proximité de l'Allemagne ou Serge Voltz est-il visionnaire sur la réforme à venir (ou pas) ?
Bref, au final, lorsque la société dotait 1,9 millions d'euros aux provisions sur le S1 2018, elle reprend 4,6 millions d'euros sur le S1 2019. Un différentiel de 6,5 millions !
Une société qui communique mieux qu'avant et une société qui essaie de sortir plus de résultat comptable qu'avant est une société dans laquelle il se passe quelque chose.
J'attends la suite avec confiance.
Dividende or not dividende ?
Pour moi la logique du dividende était dans la thèse de l'OPR au rabais et du désendettement de la holding Albatros.
Avec ce volte face de M. Voltz qui semble maintenant vouloir sortir presque plus de résultat comptable que de cash réel (d'accord avec Snowball), la thèse de l'OPR ne tient plus..
.. et c'est tant mieux, je préfère pour ma part que nos intérêts soient alignés..
Mais cela pose la question que va t'il faire de son cash ?
.. si Albatros est à flot,
.. si le cours est assez haut pour que le rachat d'action soit moins pertinent,
.. si son business ne consomme pas de CAPEX,
.. et s'il ne cherche pas à se diversifier du fait d'expériences passées peu reluisantes..
Pour moi la logique du dividende était dans la thèse de l'OPR au rabais et du désendettement de la holding Albatros.
Avec ce volte face de M. Voltz qui semble maintenant vouloir sortir presque plus de résultat comptable que de cash réel (d'accord avec Snowball), la thèse de l'OPR ne tient plus..
.. et c'est tant mieux, je préfère pour ma part que nos intérêts soient alignés..
Mais cela pose la question que va t'il faire de son cash ?
.. si Albatros est à flot,
.. si le cours est assez haut pour que le rachat d'action soit moins pertinent,
.. si son business ne consomme pas de CAPEX,
.. et s'il ne cherche pas à se diversifier du fait d'expériences passées peu reluisantes..
- les daubasses
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Vu la situation actuelle de la société de cash-machine et du développement sans besoin d'investissements lourds sur le marché allemand (avant d'attaquer l'Europe ?), oui, il devrait y avoir encore une belle génération de trésorerie sur l'exercice 2018/2018, hors éléments exceptionnels.
Pourquoi garder le cash dans Graines Voltz ? Cela ne ferait pas vraiment sens.
Hypothèse : il y aura de nouveau un beau dividende cette année, qui ira directement dans la poche de la famille Voltz (et de nous autres, actionnaires), sans passer désormais par la case "banques" (remboursement de la dette LBO) pour le "holding Albatros".
Les paris sont lancés !
Pourquoi garder le cash dans Graines Voltz ? Cela ne ferait pas vraiment sens.
Hypothèse : il y aura de nouveau un beau dividende cette année, qui ira directement dans la poche de la famille Voltz (et de nous autres, actionnaires), sans passer désormais par la case "banques" (remboursement de la dette LBO) pour le "holding Albatros".
Les paris sont lancés !
-- Chasseurs de décotes depuis 2008 --
Le scénario des Daubasses me va bien. Je suis prêt a signer pour un nouveau gros dividendes.
Il faudra quand même être très attentif au BFR. Celui-ci était très bien géré depuis plusieurs exercices, expliquant en partie le fort désendettement de VOLTZ. Mais il s'est assez nettement dégradé sur les semestriels, avec des comptes clients et stocks qui ont explosé, bien au delà de la croissance de l'activité. Si ce point là n'est pas réglé au 30 septembre, la génération de trésorerie de l'exercice sera décevante. D'autant plus qu'une partie de la progression du résultat est lié à une changement de méthode comptable sur les provisions... donc sans impact sur le compte en banque.
Confiance, mais prudence de mon côté.
Il faudra quand même être très attentif au BFR. Celui-ci était très bien géré depuis plusieurs exercices, expliquant en partie le fort désendettement de VOLTZ. Mais il s'est assez nettement dégradé sur les semestriels, avec des comptes clients et stocks qui ont explosé, bien au delà de la croissance de l'activité. Si ce point là n'est pas réglé au 30 septembre, la génération de trésorerie de l'exercice sera décevante. D'autant plus qu'une partie de la progression du résultat est lié à une changement de méthode comptable sur les provisions... donc sans impact sur le compte en banque.
Confiance, mais prudence de mon côté.
- les daubasses
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Tout à fait Snowball, confiance, mais prudence.
L'activité est très cyclique, difficile de partir des données semestrielles pour établir une tendance annuelle (résultats comme bilan, cf. les 10 dernières années). Sur ce type d'investissement, une société de distribution spécialisée avec un savoir-faire qu'elle peut exploiter sur de nouveaux marchés, il faut raisonner long terme le temps que les choses se fassent.
Quand bien même l'exercice 2018/2019 serait moins générateur de trésorerie pour une question de BFR, cela serait compensée sur l'exercice suivant (créances clients, effet stocks, ...).
Le point étant de ne pas sur-interpréter les résultats et le bilan sur un seul exercice. Sauf si, bien sûr, des fortes différences apparaissent et qu'elles sont le résultat d'approches comptables excessivement prudentes ou au contraires excessivement agressives ET qu'elles marquent une rupture par rapport au passé.
Enfin, ne pas confondre "résultats comptables" et "flux de trésorerie". Quelque soient les approches retenues, toutes provisions / dépréciations prudentes ou pas que vous faites (ou pas, comme des reprises sur provisions) n'ont aucun impact sur la trésorerie de la société.
L'activité est très cyclique, difficile de partir des données semestrielles pour établir une tendance annuelle (résultats comme bilan, cf. les 10 dernières années). Sur ce type d'investissement, une société de distribution spécialisée avec un savoir-faire qu'elle peut exploiter sur de nouveaux marchés, il faut raisonner long terme le temps que les choses se fassent.
Quand bien même l'exercice 2018/2019 serait moins générateur de trésorerie pour une question de BFR, cela serait compensée sur l'exercice suivant (créances clients, effet stocks, ...).
Le point étant de ne pas sur-interpréter les résultats et le bilan sur un seul exercice. Sauf si, bien sûr, des fortes différences apparaissent et qu'elles sont le résultat d'approches comptables excessivement prudentes ou au contraires excessivement agressives ET qu'elles marquent une rupture par rapport au passé.
Enfin, ne pas confondre "résultats comptables" et "flux de trésorerie". Quelque soient les approches retenues, toutes provisions / dépréciations prudentes ou pas que vous faites (ou pas, comme des reprises sur provisions) n'ont aucun impact sur la trésorerie de la société.
-- Chasseurs de décotes depuis 2008 --
Investir se fend d'un article sur Graines VOLTZ. Ils sont à l'achat avec une objectif de cours à 70 €.
Rien de révolutionnaire, mais cela a manifestement convaincu quelques petits porteurs de se porter acquéreur. Belle progression ce matin avec des volumes bien supérieurs à la moyenne du titre.
Rien de révolutionnaire, mais cela a manifestement convaincu quelques petits porteurs de se porter acquéreur. Belle progression ce matin avec des volumes bien supérieurs à la moyenne du titre.
Pour moi le BFR qui explose au S1 (ou plutôt la variation de BFR) c'est lié aux reprises de provisions.
Le BFR se calcule actifs circulants nets - passifs circulants nets.
Donc si l'entreprise passe des reprises de provisions sur stocks et sur créances, l'actif circulant net augmente sur les deux postes, et donc mécaniquement le BFR et sa variation.
Le BFR se calcule actifs circulants nets - passifs circulants nets.
Donc si l'entreprise passe des reprises de provisions sur stocks et sur créances, l'actif circulant net augmente sur les deux postes, et donc mécaniquement le BFR et sa variation.
IB https://ibkr.com/referral/etienne815
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100 % d’accord avec philSRV. L’avis d’Investir ne vaut pas toujours le prix du papier sur lequel il est imprimé. Mais force est de constater qu’il y a un vrai effet sur les cours des titres peu liquides lorsque ce journal passe à l’achat. Nous en avons eu hier une illustration très claire sur VOLTZ. L’effet pourrait durer quelques jours. Ce qui est amusant c’est que le vrai signal, l’annonce par le groupe d’une progression de son CA de plus de 12 % au S2, n’avait eu absolument aucun impact sur le cours de Graines Voltz.
D’accord aussi avec Bibike, mais en partie seulement. Le BFR du S1 montre une augmentation de 14,3 M€ par rapport au même agrégat un an plus tôt. L’effet des reprises de provision est de 4,6 M€. Reste donc que le BFR a progressé, hors effet sur les provisions, de 9,7 M€… beaucoup plus rapidement que le CA.
D’accord aussi avec Bibike, mais en partie seulement. Le BFR du S1 montre une augmentation de 14,3 M€ par rapport au même agrégat un an plus tôt. L’effet des reprises de provision est de 4,6 M€. Reste donc que le BFR a progressé, hors effet sur les provisions, de 9,7 M€… beaucoup plus rapidement que le CA.
Pour ma part ce BFR n'est pas non plus un sujet majeur
La saisonnalité explique disons 18M€ (moyenne BFR S1 2016-2018)
La hausse d'activité explique disons 1 à 2M€
Et l'effet reprise de provision comme expliqué par bibike fait bien 6-7M€ (j'ai mis un peu de temps à le comprendre lors de la parution des semestriels, le FCF hors BFR explosant du fait des reprises de provisions alors que cet indicateur est censé les neutraliser... c'est la distinction en provision d'exploitation et dotation aux provisions pour risque)
Si je cumule les poste BFR activités et autres flux générés par l'activités du S1 2019 j'arrive à 28M€
Bref, c'est fort mais cela s'explique
ps à Snowball : je dis 6-7M€ de prov car le S1 2018 était impacté inversement par1.9M€ de prise de provision
La saisonnalité explique disons 18M€ (moyenne BFR S1 2016-2018)
La hausse d'activité explique disons 1 à 2M€
Et l'effet reprise de provision comme expliqué par bibike fait bien 6-7M€ (j'ai mis un peu de temps à le comprendre lors de la parution des semestriels, le FCF hors BFR explosant du fait des reprises de provisions alors que cet indicateur est censé les neutraliser... c'est la distinction en provision d'exploitation et dotation aux provisions pour risque)
Si je cumule les poste BFR activités et autres flux générés par l'activités du S1 2019 j'arrive à 28M€
Bref, c'est fort mais cela s'explique
ps à Snowball : je dis 6-7M€ de prov car le S1 2018 était impacté inversement par1.9M€ de prise de provision
- les daubasses
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Cession de la moitié de la position ce jour.
Copie du mail envoyé ce soir :
Copie du mail envoyé ce soir :
les daubasses a écrit :Nous cédons la moitié de nos actions Graines Voltz, soit 18 actions. Comme convenu dans le process des Pépites PEA, nous prenons le cours de clôture de ce jour : 70,00 EUR.
Cet allégement nous permet d'acter un gain de +150% en l'espace de 2 ans et 6 mois (+185,6% en incluant les dividendes perçus de 4 EUR et 6 EUR) et de rééquilibrer le portefeuille, car à force de progresser la ligne Graines Voltz représentait plus de 20% du total du portefeuille Pépites PEA.
En tenant compte de frais de courtage (2 EUR), notre nouvelle trésorerie est en hausse à 2 969 EUR et représente désormais 22% du portefeuille.
-- Chasseurs de décotes depuis 2008 --
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Quel est donc le rationnel derriere la vente de ce jour? Ne faudrait il pas laisser courrir la position?
L'objectif de cours est autour de 80E.
Bien cordialement
L'objectif de cours est autour de 80E.
Bien cordialement
Bonjour Les Daubasses,
Je profite de cette vente partielle pour vous faire part d'une réflexion que j'ai eue lors de votre vente de "encres dubuit" en octobre dernier (pas trouvé de file sur l'action sur ce forum, donc pas encore pu vous en faire part).
Je m'interroge (au sens positif du terme) en effet sur votre influence sur les cours des actions peu liquides lors de vos annonces d'achat / vente.
Au cas présent, nous ne savons pas encore quel sera le cours de "graines voltz" demain à l'ouverture mais, si je prends l'exemple "encres dubuit", votre annonce sur ce titre très peu liquide a fait chuter le titre de près de 30% en séance, probablement en raison de la vente d'actions par vos lecteurs (de plus en plus nombreux, j'imagine) et des déclenchements induits de stops chez les autres actionnaires. Si vos raisons de lâcher le titre semblent justifiées, j'ai tout de même trouvé que la sanction sur le titre était excessive au vu d'une publication pas si catastrophique que ça, et, plutôt que de vendre à prix bradé (je ne suis pas rapide à lire vos mails, encore moins à passer des ordres), il pouvait être intéressant de prendre le contre-pied et d'en reprendre une louche, ce que j'ai fait à 3,78€ (pour mémoire, vous avez indiqué avoir vendu ce même jour à 4,5€, si ma mémoire est bonne).
La problématique me semble intéressante car je me rends compte que, sur les titres très peu liquides du moins et en raison de ma réactivité incertaine, je serai incapable de reproduire votre performance quand bien même je suivrais vos actions. Je tente donc une nouvelle stratégie: si les daubasses vendent (pour des raisons que j'estime justifiées) ET si je peux vendre à bon prix -> je vends. Si les daubasses vendent ET que la chute induite est vertigineuse et me parait excessive -> je prends le risque de renforcer (risque non pas sur l'action elle-même, mais sur l'absence de suivi ultérieur par les daubasses ; c'est dorénavant à moi de me débrouiller tout seul, sur "encres dubuit" par exemple, et je n'ai pas vos compétences...).
Pour en revenir à Graines Voltz, sujet de cette file, j'ai donc, suite à votre annonce, placé un ordre d'achat à un cours bien plus bas, en espérant que les stops fassent le job. Si ça se déclenche, j'estime que ce sera un achat à bon compte, d'autant que vous n'avez "vendu" que la moitié donc que vous continuerez à suivre le titre. Et si ça ne se déclenche pas, les résultats sont pour très bientôt : peut-être également un espoir de baisse injustifiée (la publication du S1 me parait trop enjolivée pour être honnête...) ? Nous verrons bien demain.
Je profite de cette vente partielle pour vous faire part d'une réflexion que j'ai eue lors de votre vente de "encres dubuit" en octobre dernier (pas trouvé de file sur l'action sur ce forum, donc pas encore pu vous en faire part).
Je m'interroge (au sens positif du terme) en effet sur votre influence sur les cours des actions peu liquides lors de vos annonces d'achat / vente.
Au cas présent, nous ne savons pas encore quel sera le cours de "graines voltz" demain à l'ouverture mais, si je prends l'exemple "encres dubuit", votre annonce sur ce titre très peu liquide a fait chuter le titre de près de 30% en séance, probablement en raison de la vente d'actions par vos lecteurs (de plus en plus nombreux, j'imagine) et des déclenchements induits de stops chez les autres actionnaires. Si vos raisons de lâcher le titre semblent justifiées, j'ai tout de même trouvé que la sanction sur le titre était excessive au vu d'une publication pas si catastrophique que ça, et, plutôt que de vendre à prix bradé (je ne suis pas rapide à lire vos mails, encore moins à passer des ordres), il pouvait être intéressant de prendre le contre-pied et d'en reprendre une louche, ce que j'ai fait à 3,78€ (pour mémoire, vous avez indiqué avoir vendu ce même jour à 4,5€, si ma mémoire est bonne).
La problématique me semble intéressante car je me rends compte que, sur les titres très peu liquides du moins et en raison de ma réactivité incertaine, je serai incapable de reproduire votre performance quand bien même je suivrais vos actions. Je tente donc une nouvelle stratégie: si les daubasses vendent (pour des raisons que j'estime justifiées) ET si je peux vendre à bon prix -> je vends. Si les daubasses vendent ET que la chute induite est vertigineuse et me parait excessive -> je prends le risque de renforcer (risque non pas sur l'action elle-même, mais sur l'absence de suivi ultérieur par les daubasses ; c'est dorénavant à moi de me débrouiller tout seul, sur "encres dubuit" par exemple, et je n'ai pas vos compétences...).
Pour en revenir à Graines Voltz, sujet de cette file, j'ai donc, suite à votre annonce, placé un ordre d'achat à un cours bien plus bas, en espérant que les stops fassent le job. Si ça se déclenche, j'estime que ce sera un achat à bon compte, d'autant que vous n'avez "vendu" que la moitié donc que vous continuerez à suivre le titre. Et si ça ne se déclenche pas, les résultats sont pour très bientôt : peut-être également un espoir de baisse injustifiée (la publication du S1 me parait trop enjolivée pour être honnête...) ? Nous verrons bien demain.
- les daubasses
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Bonne remarque.
A chaque investisseur de faire comme il veut. Vous considérez qu'une éventuelle baisse sur Graines Voltz est une opportunité. Vous avez sans doute raison, si votre process vous dicte d'agir ainsi.
La volatilité induite par une vente ou un achat des daubasses, nous en sommes spectateurs. C'est un problème qu'il est difficile de contrer, car notre univers d'investissement est celui des petites sociétés cotées. Une possibilité est de limiter le nombre d'abonnés (200 par exemple ?) et d'augmenter fortement les tarifs. Ce n'est pas ce que nous voulons faire, puisque le fait de proposer un tarif imbattable permet de toucher un grand nombre d'investisseurs particuliers.
Également, nous ne nous faisons pas trop d'illusions (malheureusement...) sur le fait que des abonnés font suivre l'idée à droite, à gauche à des non-abonnés... ce qui augmente l'effet boule de neige. A tort ou à raison. Nous n'allons tout de même pas garder des titres à vie pour éviter ces malheureux collatéraux !
A chacun de faire ses devoirs, nous ne détenons aucune vérité en matière d'investissement : ce n'est pas parce que nous vendons que les abonnés doivent vendre. Parfois, les actions vont encore continuer à grimper. Il est arrivé très rarement que nous vendions au plus haut !
Idem lors d'un achat, il est presque toujours possible d'acheter plus bas que nous et parfois avec un rabais conséquent !
Pour limiter ces inconvénients collatéraux, l'idée est d'essayer d'éviter tant que possible - lors de nos prochains opérations d'achats et de ventes - les titres les moins liquides, puisque nous avons en effet conscience d'être très suivies, notamment sur les titres cotés à Paris.
A chaque investisseur de faire comme il veut. Vous considérez qu'une éventuelle baisse sur Graines Voltz est une opportunité. Vous avez sans doute raison, si votre process vous dicte d'agir ainsi.
La volatilité induite par une vente ou un achat des daubasses, nous en sommes spectateurs. C'est un problème qu'il est difficile de contrer, car notre univers d'investissement est celui des petites sociétés cotées. Une possibilité est de limiter le nombre d'abonnés (200 par exemple ?) et d'augmenter fortement les tarifs. Ce n'est pas ce que nous voulons faire, puisque le fait de proposer un tarif imbattable permet de toucher un grand nombre d'investisseurs particuliers.
Également, nous ne nous faisons pas trop d'illusions (malheureusement...) sur le fait que des abonnés font suivre l'idée à droite, à gauche à des non-abonnés... ce qui augmente l'effet boule de neige. A tort ou à raison. Nous n'allons tout de même pas garder des titres à vie pour éviter ces malheureux collatéraux !
A chacun de faire ses devoirs, nous ne détenons aucune vérité en matière d'investissement : ce n'est pas parce que nous vendons que les abonnés doivent vendre. Parfois, les actions vont encore continuer à grimper. Il est arrivé très rarement que nous vendions au plus haut !
Idem lors d'un achat, il est presque toujours possible d'acheter plus bas que nous et parfois avec un rabais conséquent !
Pour limiter ces inconvénients collatéraux, l'idée est d'essayer d'éviter tant que possible - lors de nos prochains opérations d'achats et de ventes - les titres les moins liquides, puisque nous avons en effet conscience d'être très suivies, notamment sur les titres cotés à Paris.
-- Chasseurs de décotes depuis 2008 --
Merci pour votre réponse, toujours très instructive.
Je vais essayer de faire des quote partielles sur les rares points sur lesquels je souhaite rebondir :
Je suis abonné depuis 5 ans maintenant, grâce à vous j'ai ouvert autre chose qu'un PEA (démarche pas naturelle pour un Français, vous avez dû vous en rendre compte) et je vous suis sur votre aventure japonaise, merci pour ce que vous faites et « Pourvou qu'ça doure ! », comme disait la mère de Napoléon !
Je vais essayer de faire des quote partielles sur les rares points sur lesquels je souhaite rebondir :
Pour être très honnête, mon ordre est très, très en dessous du cours actuel, moins de 50 euros. Il a très, très peu de chances d'être exécuté, à moins que ce que j'estime être une anomalie de marché consécutive à des stops qui sautent ne se produise. J'estime que c'est un bon prix d'achat actuel, au vu de la situation de la boîte, même si mon PRU est de près de la moitié de ce chiffre. Et cet ordre ne représente que 25% (en nombre de titres) des titres graines voltz que j'ai actuellement en portefeuille. Pour info, je vise 80 à 90 euros, donc vendre à 70 ne me gênerais pas dans l'absolu mais acheter à 45 ou 50 encore moins.A chaque investisseur de faire comme il veut. Vous considérez qu'une éventuelle baisse sur Graines Voltz est une opportunité. Vous avez sans doute raison, si votre process vous dicte d'agir ainsi.
Et vous avez totalement raison ! Vous dites ce que vous faites, et pourquoi vous le faites. C'est pour cela que l'on vous suit. Si vous commencez à prendre en compte les collatéraux, vous allez perdre ce qui fait ce qui fait ce que vous êtes, et risquer de devenir des "conseillers en gestion de patrimoine" comme les autres... Aucun intérêt.Également, nous ne nous faisons pas trop d'illusions (malheureusement...) sur le fait que des abonnés font suivre l'idée à droite, à gauche à des non-abonnés... ce qui augmente l'effet boule de neige. A tort ou à raison. Nous n'allons tout de même par garder des titres à vie pour éviter ces malheureux collatéraux !
Comme diraient Chevallier et Laspalès (je ne sais pas si vous connaissez en Belgique ?), "c'est vous qui voyez". A titre perso, et comme indiqué au-dessus, je préférerais que vous ignoriez ces collatéraux et que vous fassiez comme si vos abonnés n'existaient pas. Le biais induit par une restriction sur la liquidité des titres que vous proposez me parait trop important par rapport à l'intérêt que je porte aux titres que vous nous soumettez à ce jour, indépendamment de leur liquidité. C'est à nous, abonnés, de nous adapter (c'est en tout cas comme ça que je le conçois).Pour limiter ces inconvénients collatéraux, l'idée est d'essayer d'éviter tant que possible, lors de nos prochains opérations d'achats et de ventes, les titres les moins liquides, puisque nous avons en effet conscience d'être très suivies, notamment sur les titres cotés à Paris.
Je suis abonné depuis 5 ans maintenant, grâce à vous j'ai ouvert autre chose qu'un PEA (démarche pas naturelle pour un Français, vous avez dû vous en rendre compte) et je vous suis sur votre aventure japonaise, merci pour ce que vous faites et « Pourvou qu'ça doure ! », comme disait la mère de Napoléon !
Pas d'accord avec vous jsbx sur la liquidité. Le but n'est pas de trouvé une daubasse si peu liquide que le simple fait d'en parler à une audience attentive en fasse progresser le cours drastiquement. Certains n'hésiterai pas à le faire mais c'est bien loin de l'effort intellectuel et des valeurs que je perçois de l'équipe de daubasses (et accessoirement, ça fini par s'appeler un pump & dump).
Donc oui il faut un peu de liquidité quand même (d'ou l'indice dans les dernières newsletters depuis quelques temps maintenant), mais pas trop, comme ça les très gros fonds ne suivront pas, seul les plus "petits" viendront (e t un I&E/Moneta/HMG peuvent largement faire bouger le cours.
Donc oui il faut un peu de liquidité quand même (d'ou l'indice dans les dernières newsletters depuis quelques temps maintenant), mais pas trop, comme ça les très gros fonds ne suivront pas, seul les plus "petits" viendront (e t un I&E/Moneta/HMG peuvent largement faire bouger le cours.
Blog: https://lacotefrancaise.substack.com
Ça n'est pas du tout ce que j'ai dit, j'ai dû mal m'exprimer. Je résume donc ma pensée, en espérant être plus clair :Pas d'accord avec vous jsbx sur la liquidité. Le but n'est pas de trouvé une daubasse si peu liquide que le simple fait d'en parler à une audience attentive en fasse progresser le cours drastiquement. Certains n'hésiterai pas à le faire mais c'est bien loin de l'effort intellectuel et des valeurs que je perçois de l'équipe de daubasses (et accessoirement, ça fini par s'appeler un pump & dump).
- je trouverais dommage que les daubasses limitent le partage de leurs analyses sur les titres "suffisamment liquides" (quels critères ?), car j'ai appris beaucoup grâce à eux (l'effort intellectuel dont vous parlez, et plus encore l'honnêteté intellectuelle sont d'ailleurs les principales raisons de ma fidélité depuis 5 ans) et découvert (et acheté) des actions peu liquides que je n'aurais pas connues autrement (je prends l'exemple de "encres dubuit", mais aussi passat, clairefontaine, signaux girod, etc... que j'ai encore en portefeuille) ; il n'a jamais été question pour moi d'espérer que les daubasses ne suivent que les micro-caps pour faire des bénefs sur leurs mouvements, je pense d'ailleurs que c'est peine (et argent) perdu en tant que stratégie. Bien au contraire, je les ai notamment suivis, à hauteur d'une 15aine de pourcents de mon épargne de long terme, sur les actions japonaises, non par mimétisme mais parce qu'ils m'ont mis sous les yeux ce que j'aurais été incapable de trouver par moi-même : la sous-valorisation et le potentiel de ce marché. Et, sur le Japon, je suis à peu près convaincu que leurs mouvements n'auront aucun impact significatif sur les cours.
- et en même temps (sans vouloir être macronien), je ne me contente pas d'acheter quand ils achètent et vendre quand ils vendent, d'autant plus que mes prix d'achat et vente ne seront pas les leurs. Pour les titres accessibles en PEA (beaucoup d'abonnés daubasses français ne possèdent que cette enveloppe fiscale très favorable et n'investissent donc que dans les titres *français* éligibles (petite info pour nos amis non français qui nous conseilleraient des actions européennes 'non françaises' en PEA, la fiscalité est encore plus démoniaque qu'en compte titre ordinaire donc nous n'y mettons que des titres français)), j'ai juste indiqué m'être posé la question et avoir agi sur "encres dubuit". Si je refais le film : j'ai acheté du "encre dubuit" (très faible position, <3% de mon portefeuille) vers 5,5€ il y a un an ou deux. En septembre, j'ai doublé ma position vers 5€. En octobre, les daubasses annoncent vendre à 4,5€. Le même jour, le temps que j'aille sur mon site boursier, le titre est à 3,5€ ! Je fais quoi ? Dans un raisonnement que j'estime dans l'"esprit daubasses", je regarde (ou plutôt estime) ce que vaut l'action par rapport à ce qu'elle cote. Vendre à 4,5€ pourquoi pas, mais à 3,5€ ??? Non, ça me parait trop faible, l'action vaut bien plus selon moi (rappel : achat en septembre à 5€) et j'en profite pour renforcer. Mais c'est une circonstance, pas une stratégie, qui sera gagnante ou perdante, nous verrons bien.
- pour en revenir à Graines Voltz, j'estime (et je peux, bien sûr, me tromper) que ça vaut 80 à 90 euros. J'estime aussi que le cours actuel a été gonflé par les dividendes "indécents" (=intenables dans la durée) qui ont été versés ces deux dernières années pour renflouer Albatros, qui ont attiré et (et permis de booster l'action) des investisseurs sur le seul rendement sans qu'ils sachent de quoi il en retourne. Je suis également très sceptique sur la teneur du communiqué S1 (quand je suis entré, la boîte venait de solder ses créances fournisseurs pour faire croire à une chute de trésorerie, et expliquait que l'hiver, il fait plus froid que l'été, et que donc la faillite était pas loin ; aujourd'hui, c'est l'exact contraire, déclarations dithyrambiques alors que 0 effet cash, juste des artefacts comptables). Donc j'avais déjà mis en place mon épuisette pour les résultats annuels (déception des pp potentielle sur baisse du dividende, notamment). Mais quand je vois que les daubasse vendent en partie, ça conforte juste mon épuisette : à 70 euros, je ne vends pas (et encore... c'est à, à peine, 15% en dessous de mon objectif de cours alors que j'ai fait plus de 150% de PV sur l'action), à 50 (raisonnement type "daubasses"), c'est pas cher par rapport à ce que j'estime que ça vaut donc j'achète.
Bref, j'espère avoir été un peu plus clair, et je renouvelle mon amitié et mon soutien l'équipe des daubasses, surtout, changez rien
Mon opinion concernant l'allègement :
L'allégement des Daubasses à 70 EUR est tout à fait normal, tout simplement puisque s'ils n'avaient pas été sur le titre, il ne leur viendrait jamais à l'idée de se positionner à 70 EUR pour 20% de leur portefeuille tout en ayant un objectif de vente très proche à 81 EUR.
Plus généralement, si on suit un process strict et logique, on est sensé vendre le jour même ce que l'on n’achèterait pas le jour même, tout simplement car la "non vente" est aussi une décision en soit, et comme le dit la Reine des Neiges dans sa chanson "le passé, c'est du passé", la plus-value GRVO était acquise ce jour là, et la décision de vente ne doit pas dépendre du PRU ou de n'importe quel autre élément du passé, cette décision doit uniquement se baser sur la situation présente, un allégement était ici plus que sensé.
Cela est respecté par le process Daubasses dans un sens (achat) mais pas toujours dans l'autre (vente).
Et de manière plus globale, chaque investisseur dans la décote est sensé avoir pour chaque action une courbe de référence : "position_en_eur = f(decote)".
Plus la décote est grande, plus la position permise en EUR est grande.
Si la décote est nulle, la position doit être de 0 EUR.
L'allégement des Daubasses à 70 EUR est tout à fait normal, tout simplement puisque s'ils n'avaient pas été sur le titre, il ne leur viendrait jamais à l'idée de se positionner à 70 EUR pour 20% de leur portefeuille tout en ayant un objectif de vente très proche à 81 EUR.
Plus généralement, si on suit un process strict et logique, on est sensé vendre le jour même ce que l'on n’achèterait pas le jour même, tout simplement car la "non vente" est aussi une décision en soit, et comme le dit la Reine des Neiges dans sa chanson "le passé, c'est du passé", la plus-value GRVO était acquise ce jour là, et la décision de vente ne doit pas dépendre du PRU ou de n'importe quel autre élément du passé, cette décision doit uniquement se baser sur la situation présente, un allégement était ici plus que sensé.
Cela est respecté par le process Daubasses dans un sens (achat) mais pas toujours dans l'autre (vente).
Et de manière plus globale, chaque investisseur dans la décote est sensé avoir pour chaque action une courbe de référence : "position_en_eur = f(decote)".
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Parrainage:
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- les daubasses
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- Inscription : 26/10/2019
Merci pour vos interventions de qualité qui font sens.
C'est une chance d'avoir des abonnés de cette trempe !
Pour nous et pour toute la communauté.
In fine, petite baisse sur le cours avec peu de volumes.
Donc RAS.
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-- Chasseurs de décotes depuis 2008 --
Anecdote statistique pour les abonnés suiveurs qui tentent de répliquer en direct les achats/ventes des Daubasses et qui provoquent des variations inhabituelles sur les prix (phénomène observé à de nombreuses reprises) :
Si un abonné avait suivi dans l'urgence les mouvements des Daubasses de 2010 à 2018 en achetant régulièrement à 5% au dessus du PRU des Daubasses et en vendant à 5% en dessous du prix de vente des Daubasses, sa performance aurait été quasi nulle sur la période.
Si un abonné avait suivi dans l'urgence les mouvements des Daubasses de 2010 à 2018 en achetant régulièrement à 5% au dessus du PRU des Daubasses et en vendant à 5% en dessous du prix de vente des Daubasses, sa performance aurait été quasi nulle sur la période.
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Merci à vous pour la création de ce forum! Je crois qu'il n'est plus nécessaire de s'interroger désormais sur sa valeur ajoutée.les daubasses a écrit : ↑07 janvier 2020, 11:51Merci pour vos interventions de qualité qui font sens.
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In fine, petite baisse sur le cours avec peu de volumes.
Donc RAS.
Je suis également resté sur des valeurs qui ne sont plus suivies et, outre la qualité des échanges sur les titres toujours en portefeuille, pouvoir poursuivre une réflexion partagée sur les titres revendus me semble très intéressant pour les petits investisseurs que nous sommes.